Définition(s) :
- Nom qui désigne dans les premiers temps de l'Église soit les douze disciples choisis par Jésus (Simon Pierre, André, Jacques fils de Zébédée, Jean, Philippe, Barthélemy, Thomas, Matthieu, Jacques fils d'Alphée, Thaddée, Simon le Zélote et Judas l'Iscariote), soit les premiers messagers de l'Évangile appelés par vocation particulière (ainsi Paul, Matthias, Barnabé).
- Nom de ceux qui ont, les premiers, porté l'Évangile dans une ville ou dans un pays.
- (Religion) Une des douze personnes que Jésus-Christ choisit particulièrement, entre ses disciples, pour prêcher l’évangile.
- (Par analogie) Chacun des enfants dont on lave les pieds le Jeudi-Saint, lors de la cérémonie de la Cène.
- (Par extension) Celui qui, le premier, a prêché la foi dans quelque pays.
- (Figuré) Celui qui se voue à la propagation et à la défense d’une doctrine, d’une opinion, d’un système.
- (Au pluriel) (Argot) (Vieilli) (Rare) Les doigts des mains.
- (Marine) Allonge qui consolide le beaupré.
- (Histoire) Lettre par laquelle un condamné dénonçait appel au juge qui avait prononcé la sentence.
- Religion. Qualifie l'un des douze disciples du Christ.
- Propagateur d'une doctrine.
- pas de définition
- (Bible, Religion) Une des douze personnes que Jésus-Christ choisit particulièrement, entre ses disciples, pour prêcher l’évangile.
- (Par analogie) Chacun des enfants dont on lave les pieds le Jeudi-Saint, lors de la cérémonie de la Cène.
- (Par extension) Celui qui, le premier, a prêché la foi dans quelque pays.
- (Figuré) Celui qui se voue à la propagation et à la défense d’une doctrine, d’une opinion, d’un système.
- (Au pluriel) (Argot) (Vieilli) (Rare) Les doigts des mains.
- (Marine) Allonge qui consolide le beaupré.
- (Histoire) Lettre par laquelle un condamné dénonçait appel au juge qui avait prononcé la sentence.
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