Définition(s) :
- Frotter un cheval, un bœuf, etc., avec l'étrille.
- Vieux. Vaincre quelqu'un, le battre de façon manifeste, le malmener fortement : Je me suis fait étriller aux échecs.
- Familier. Critiquer vivement quelqu'un, son œuvre : Il étrille systématiquement ses contradicteurs.
- Familier. Voler un client en lui faisant payer trop cher ce qu'il consomme, ce qu'il achète ; estamper : Hôtelier qui étrille les voyageurs.
- Frotter, nettoyer avec l’étrille.
- (Figuré) (Familier) Battre quelqu’un, le maltraiter.
- (Figuré) Faire payer trop cher une prestation.
- Frotter avec une étrille (étriller un cheval)
- (au sens figuré) Gronder, réprimander.
- Battre (elle étrilla sa concurrente)
- Critiquer sévèrement (les critiques étrillèrent le nouveau roman)
- (familièrement) Faire payer trop cher à quelqu'un.
- Sens 1: Nettoyer le poil d'un cheval avec l'étrille.
- Sens 2: Fig. et familièrement. Étriller quelqu'un, le battre, le malmener. Il faut l'étriller d'importance. Par extension. Il se dit familièrement aussi d'une bataille. Les Français furent étrillés à Pavie.
- Sens 3: Faire payer trop cher. On l'a étrillé dans cet hôtel.Il a été bien étrillé, se dit d'un homme à qui on a fait payer trop cher, ou qui a fait de grosses pertes au jeu ou ailleurs, ou qui a passé par quelque rude maladie.
- Frotter, nettoyer avec l’étrille.
- (Figuré) (Familier) Battre quelqu’un, le maltraiter.
- (Figuré) Faire payer trop cher une prestation.
Points au Scrabble
Rapporte 8 points (sans les contraintes du jeu.)