Définition(s) :
- Appel à comparaître lancé par le magicien dans des formes rituelles à des esprits ; cette comparution même.
- Action de rappeler quelque chose d'oublié, de rendre présents à l'esprit des souvenirs : L'évocation des années passées.
- Action de mentionner quelque chose, de faire allusion à quelque chose.
- Droit pour une cour d'appel, saisie de certains jugements de première instance, de s'emparer de toute l'affaire et de statuer sur l'appel et le fond du procès par une seule et même décision.
- (Religion) (Vieilli) Action d’appeler, de faire venir, de faire apparaître, en parlant des âmes, des esprits, etc.
- (Par extension) Action de rappeler à la mémoire, de remettre sous les yeux l’image de ce qui a disparu.
- (Droit) Action d’évoquer une cause, une affaire.
- Fait d'évoquer; le résultat de cette action (l'évocation d'une idée)
- Fonction de la mémoire qui permet de rappeler les souvenirs à la conscience, de les ramener à l'esprit.
- Fait d'évoquer les esprits ou le diable par la magie (l'évocation des âmes mortes)
- Droit. Pouvoir d'évoquer un tribunal, de statuer sur des points non jugés en première instance.
- Sens 1: Terme de magie. Action d'évoquer, de faire apparaître les démons, les ombres ou les âmes des morts.
- Sens 2: Terme de procédure. Action de la part d'un tribunal supérieur, de retenir la connaissance d'une affaire qui n'a pas subi le premier degré de juridiction, ou de s'en saisir d'office. La cour de cassation est chargée de statuer sur les demandes en évocation.L'évocation du principal, se dit pour un appel interjeté d'une sentence qui n'a été rendue que sur un incident.
Points au Scrabble
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