Définition(s) :
- Instruction familière sur la religion, et principalement sur l'Évangile.
- Prédication faite au cours de la messe.
- Lecture du bréviaire, extraite des homélies des Pères, et qui se dit à l'office des lectures.
- Littéraire. Livre, discours ennuyeux, plein d'affectation moralisante ; sermon.
- (Christianisme) Discours expliquant les matières de la religion, et principalement l’évangile, en particulier après la lecture de l’évangile.
- (Au pluriel) (Par extension) Certaines leçons du bréviaire qui sont des extraits des homélies des pères, et qu’on chante au troisième nocturne des matines.
- (Figuré) (Péjoratif) Ouvrage d’esprit, discours où se montre l’affectation de moraliser et qui cause de l’ennui.
- Liturgie. Instruction sur l'évangile pendant la messe.
- Discours moralisant, long et ennuyeux.
- Sens 1: Instruction sur l'Evangile ou sur des matières de religion, qu'on nomme aussi prône. Fig. Homélies de l'archevêque de Grenade, ouvrage dans lequel l'auteur donne des signes de décadence ; par allusion au passage de Gil Blas (VII, 4) où l'archevêque de Grenade, après une attaque d'apoplexie, fait des homélies très inférieures à celles qu'il composait auparavant. Au plur.: Leçons du bréviaire extraites des homélies des Pères, et qu'on chante au troisième nocturne des matines.
- Sens 2: Fig. et par dénigrement. Ouvrage ou discours ennuyeux par sa morale affectée.
- (Christianisme) Discours expliquant les matières de la religion, et principalement l’évangile, en particulier après la lecture de l’évangile.
- (Au pluriel) (Par extension) Certaines leçons du bréviaire qui sont des extraits des homélies des pères, et qu’on chante au troisième nocturne des matines.
- (Figuré) (Péjoratif) Ouvrage d’esprit, discours où se montre l’affectation de moraliser et qui cause de l’ennui.
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